CHIROPRATIQUE

La chiropratique – du grec kheir (« main ») et práxis (« action ») – est aussi appelée chiropractie ou chiropraxie. Il s’agit d’une pratique manuelle thérapeutique : sa philosophie consiste à éliminer toute interférence limitant la communication du système nerveux, ceci afin d’exploiter le plein potentiel de santé. La thérapie chiropratique est très diversifiée et offre des traitements multiples et adaptés en fonction de la nature du trouble, qu’il soit neuro-musculo-squelettique ou émotionnel.

En tant que profession médicale, les chiropracteurs suisses sont habilités à poser un diagnostic, à recourir aux analyses de laboratoire ou à gérer leur propre installation de mesure et d’activation. La méthode Lon[h]ea est la plus naturelle possible, étant axée sur l’activation du système nerveux autonome et sur l’équilibre du microbiote. Chez Lon[h]ea sont apportés des compléments probiotiques et prébiotiques, ainsi que des programmes très précis et personnalisés.

La chiropraxie est parfois crainte, car elle serait douloureuse en raison du fameux « craquement articulaire », qui n’a pas lieu d’être. À ce titre, il faut bien distinguer ce qui relève de la manipulation osseuse et de celle des tissus mous (musculatures et tissus sous-cutanés). Parfois, c’est l’action sur ces derniers qui est la plus fortement ressentie. Dans tous les cas, les chiropraticiens de Lon[h]ea adoptent l’approche la plus convenable pour le patient.

En Suisse, les chiropraticiens doivent obtenir leur premier brevet de médecine. Par la suite, il complètent leur formation par leur spécialité, généralement en Amérique du Nord. Leur but principal est de résoudre les problèmes fonctionnels, surtout de l’appareil locomoteur : osthéo, musculaire, ligamentaire… ceci, « du petit orteil jusqu’à la racine des cheveux. »

PHYSIOTHÉRAPIE

Les physiothérapeutes sont des spécialistes du mouvement. Elles et ils pratiquent la rééducation, c’est-à-dire des techniques qui permettent aux articulations d’être à nouveau mobiles et de relâcher des tissus pour permettre au corps de se mouvoir le mieux possible et de retrouver ses mouvement. La/le physiothérapeute constate souvent des limites à leur pratique. Trop souvent, les patients restent passifs et il leur est enseigné un mouvement « correct » qui n’est pas forcement le leur. Dans ces conditions, les corrections ne perdurent pas et les patients retombent dans des mauvaises habitudes : la pathologie revient. Pourtant – exception faite de la rééducation faisant suite à un accident ou à une maladie, qui suppose de normaliser la dynamique –, il n’y a pas de vrai ou de faux en la matière. Chacun est unique dans sa manière d’évoluer dans l’espace, selon sa personnalité, son comportement et son contexte. Pour proposer les programmes le mieux adaptés, il est donc crucial de prendre en compte les spécificités individuelles de chacun.

La/le fasciathérapeute s’intéresse à des tissus que les physiothérapeutes ne travaillent pas, à savoir, les fascias. La première fascia du corps est la peau. Les fascias sont les enveloppes du corps, qui relient toutes les structures les unes au autres. Elles sont interconnectées : si l’une d’entre elles pose problème, elle affectera les autres et l’ensemble du corps. Ainsi, si la peau est contractée, cela provoque des raccourcissement ailleurs, ce qui peut créer des pathologies. Le Dr Michel Golay applique la méthode de Danis Bois, selon qui les fascias sont la mémoire tissulaire du corps : traumatique à la suite à un accident ou psychique à la suite d’un événement émotif. Les crispations peuvent créer des pathologies et la fasciathérapie vise à relancer le mouvement dans les endroits affectés. Lorsque les causes sont émotionnelles, il faut opter pour une approche en douceur, en utilisant le massage à différents niveaux de profondeur. Lorsque l’origine du problème est mécanique, le travail est d’ordre plus physique. Les centres Lon[h]ea utilisent différentes techniques et outils tels que le recours aux vibrations ou aux crochets. Le confort est systématiquement apporté aux patients grâce à notre expérience et à tout l’équipement nécessaire.

Lorsque la liberté de mouvement mécanique a été restituée au corps, il faut encore lui redonner la capacité de l’utiliser à travers la perception du mouvement, qui permet de se réapproprier la sensation de bouger. C’est ce que l’on appelle la gymnastique sensorielle. Lorsque le bilan est dressé, certains gestes à optimiser sont identifiés. Le plus souvent, la personne ne s’aperçoit pas de ces gestes : on parle alors « d’angles morts ». Parfois, les mouvements sont trop rapides, ce qui empêche de sentir. Face à ces écueils est donc appliquée une gymnastique douce qui permet de prendre conscience des muscles, des structures, et des postures utilisées. Cela crée tout d’abord une sensation de bien-être profond, car la personne concernée découvre souvent des parties de son corps qu’elle ne ressentait pas. Ensuite, il est possible de passer à des exercices plus physiques, dits de renforcement. Les mouvements seront optimisés grâce à une meilleure sensation, puis par le biais de techniques propres. La gymnastique sensorielle s’applique à tous, pour corriger des mauvaises habitudes qui peuvent avoir été prises avec le temps, ou qui ont toujours été là. Ainsi, un adolescent qui grandit vite pense se tenir droit, alors qu’il est cambré. Il n’est pas conscient de ce problème : c’est son « angle mort. »

RELAXATION

L’équipe Santé Lon[h]ea travaille sur la relaxation et le bien-être dans le cadre de la philosophie de la salutogenèse : il s’agit de rendre les personnes autonomes et de faire en sorte qu’elles relâchent leurs tensions et renouent le dialogue avec elles-mêmes. Dans cet esprit, elles doivent découvrir leur potentiel de santé pour être en harmonie et savoir gérer leurs émotions. De la sorte, la relaxation vise tant le bien-être physique que le confort psychique.

Les massages facilitent la détente musculaire et nerveuse, la circulation sanguine et lymphatique, l’assimilation et la digestion des aliments, l’élimination des toxines, le fonctionnement des organes vitaux et l’éveil psychocorporel. Le massage stimule la lymphe et favorise donc l’amélioration du système immunitaire. Il peut être utilisé pour éliminer l’acide lactique produit au cours d’efforts prolongés dans le cadre du sport ou du travail.

Les spécialistes Lon[h]ea utilisent des techniques manuelles telles que le massage, le drainage lymphatique ou la vibration : ce sont les mains qui entrent en action et font le lien avec la personne afin de pouvoir ressentir où se trouvent les tensions pour les libérer et pour que l’énergie circule dans le corps en activant les systèmes sympathiques et parasympathiques.

La lymphe est la « poubelle » du corps, une substance qui sert à le désintoxiquer. Le drainage lymphatique s’appuie sur une méthode douce dont les gestes vont dans le sens et le rythme de la lymphe, qui est très lent, pour diminuer le stress et ramener le corps au calme. Dans certains cas, ce drainage est utilisé avant d’autres techniques pour « décrasser » et nettoyer le corps, qui devient ainsi plus réceptif. Le drainage lymphatique par exemple est utilisé lors en cas de claquage, d’inflammation ou de grande fatigue, et est alors très bénéfique. Ce drainage permet également de renforcer le système immunitaire. Cette technique est complémentaire de celle du massage.

La sophrologie est l’étude de la conscience humaine. Elle est dite chez biodynamique, car il s’agit de faire entrer le corps en mouvement à partir d’exercices pour que celui-ci puisse s’exprimer. Cette technique est utilisée pour améliorer la gestion du stress, la confiance en soi, la qualité du sommeil et la concentration. Elle repose sur un travail au niveau sophroliminal, c’est à dire à la limite entre la veille et le sommeil, afin que le patient ne soit pas trop actif, mais puisse entrer à l’intérieur de soi à travers sa respiration. C’est une technique comportementale qui n’utilise que la voix : grâce à la parole, il est possible d’aider la personne à aller chercher en elle-même son bien-être et à retrouver le dialogue avec soi. Cette technique laisse la totale liberté au corps d’accepter ou non ce dialogue : il ne s’agit pas d’induire quoi que ce soi. La relaxation mise en œuvre permet de libérer des sentiments positifs ou négatifs, par exemple anxiogènes. C’est grâce au travail sur ces tensions que bien-être du patient est amélioré. De plus, des outils sont définis afin qu’il puisse les réutiliser seul, ceci de manière autonome.

MICRONUTRITION

Agir sur la nutrition est particulièrement stratégique. L’alimentation apporte l’énergie à travers les macronutriments – protéines, lipides et glucides –, mais aussi les substances non énergétiques indispensables que sont les micronutriments : vitamines, antioxydants et minéraux. On méconnaît souvent le fait que nous ne mangeons pas pour nous nourrir directement, mais qu’il s’agit en fait de nourrir notre microbiote, qui produit 50 % à 70 % de notre consommation finale. La flore intestinale, qui travaille pour nous, est constituée de plusieurs kilogrammes et de milliers de d’espèces de bactéries qui peuplent notre système digestif. Il est vital de leur apporter les éléments nutritifs dont elles ont besoin pour maximiser notre santé. L’impact est majeur, que ce soit pour améliorer la santé, optimiser la performance sportive ou faire face à une maladie.

La nutrition est au centre de la méthode Lon[h]ea. Le fonctionnement du cerveau digestif est d’abord évalué grâce au questionnaire qui débute le bilan de santé. Les premières conclusions obtenues sont ensuite confrontées avec les évaluations biologiques réalisées dans un deuxième temps : caractérisation du risque d’hypoglycémie (à travers l’évaluation de la résistance à l’insuline) ou encore production de neurotransmetteurs. Le niveau inflammatoire du corps et du système digestif est évalué, tout comme la capacité de production d’énergie, le profil des acides gras et le niveau de stress oxydant, entre autres. Ce travail permet de disposer d’un profilage précis de chaque personne, ceci afin d’optimiser sa santé.

Les risques de diverses pathologies, telles que diabète de type 2, sont quantifiés, et des tests complémentaires sont réalisés pour obtenir une visibilité plus approfondie de la flore intestinale. Des programmes alimentaires sont alors conçus en visant les macro et micronutriments, et en utilisant des prébiotiques et des probiotiques.

A ce jour, la diététique se concentre principalement sur la composition des repas et sur la répartition calorique entre les protéines, les lipides et les glucides. Elle considère que les fibres provenant des légumes et des céréales n’apportent aucune calorie, jouant essentiellement un rôle pour le transit intestinal. C’est une erreur, puisque les bactéries entériques transforment ces fibres : il est ainsi possible de tirer de nombreuses calories d’une grosse salade. Les bactéries de notre flore intestinale peuvent aussi transformer les sucres en lipides ou en d’autres types de sucres. Aussi, selon leurs microbiotes, deux personnes qui mangent le même plat ne verront pas les mêmes nutriments traverser leur paroi intestinale. Le contenu de l’assiette n’est donc pas important en première analyse et l’apport calorique de tel ou tel plat n’est pas représentatif tant que l’on ne connaît pas le microbiote de la personne.

En masse, les micronutriments représentent une part minime de notre alimentation et n’apportent aucune énergie. Ils sont pourtant indispensables à nombreuses fonctions. Treize vitamines nous sont essentielles, dont une partie est soluble dans l’eau et donc à renouveler régulièrement : pour en absorber suffisamment, il faut recourir à une alimentation variée et à des cuissons à basse température. Les antioxydants sont aussi cruciaux car ils permettent de lutter contre la dégradation des membranes, de prévenir les inflammations et de garantir l’intégralité de la muqueuse intestinale. Les principaux d’entre eux proviennent de plantes, d’algues, de champignons et de bactéries et sont indispensables : à défaut, les bactéries présentes en milieu intestinal oxydant produisent des molécules pro-inflammatoires néfastes pour la santé. Les minéraux interviennent quant dans un grand nombre de réactions biochimiques.

Les fibres alimentaires sont les aliments d’origine végétale qui ne peuvent pas être digérés par le petit intestin. Ils sont la nourriture du microbiote présent dans le gros intestin, qui les fermente et les transforme en des composés plus simples. Les fibres sont connues pour favoriser le transit intestinal, mais elles sont surtout cruciales pour la diversité du microbiote, garant de notre bonne santé. On les appelle aussi prébiotiques. Tous les végétaux contiennent des fibres alimentaires, mais c’est particulièrement le cas des légumes et des graines entières, des légumineuses et des céréales complètes. Elles peuvent être consommées crues ou cuites. Les bénéfices de leur consommation sont fondamentaux compte tenu de leur importance pour le microbiote : elle accroît la performance de santé et diminue le risque d’occurrence de maladies de façon importante – cancers, obésité, diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, entre autres.

Fitness santé

Le fitness Santé des Centres Lon[h]ea vise l’activation du système nerveux autonome et la plasticité du corps, c’est à dire la progression sans blessure, qu’il s’agisse d’optimiser la santé ou de la rétablir. Le type d’activités et les charges d’entrainement sont ainsi calibrées de manière très précise grâce au profilage effectué lors du bilan de santé.

Le fitness prend place dans le confort du centre Lon[h]ea, en utilisant les machines de haute technologie du bio-circuit ou l’équipement fonctionnel. Ce fitness Santé peut être pratiqué accompagné par notre équipe de préparateurs physiques ou encore seul, en suivant alors le programme personnalité affiché sur les bornes interactives et sur l’application MyLon[h]ea de votre smartphone. Grâce à cette application, vous pouvez compléter vos exercices à l’extérieur et à distance tout en gardant à tout moment le contact avec l’équipe Lon[h]ea.

Les préparateurs physiques collaborent étroitement avec les thérapeutes de santé du centre Lon[h]ea. Ils accompagnent les candidats Santé pendant la réalisation des exercices du bilan de santé. Les résultats sont ensuite interprétés par les thérapeutes et les préparateurs, qui déterminent les programmes d’activation, d’entrainement et de nutrition. Les préparateurs sont un point de contact privilégié avec les candidats Santé et font intervenir les thérapeutes selon les besoins et évolutions qui se présentent. Les candidats disposent ainsi de tout ce dont ils ont besoin pour effectuer leur travail, accompagnés ou seuls, y compris de l’accès au plateau d’entrainement du centre selon leur type d’abonnement.

Des athlètes professionnels et des amateurs de différentes disciplines sportives fréquentent le centre. L’approche Lon[h]ea consiste à faciliter la performance par la santé en activant le système nerveux et  en optimisant le microbiote. Des évaluations très précises permettent de déterminer les caractéristiques propres à chacun, ce qui permet de définir les programmes d’entrainement les mieux adaptés. La méthode a fait ses preuves avec les plus grands champions sportifs ainsi qu’avec de nombreux amateurs de différents niveaux.

Les muscles sont faits pour travailler en lien les uns avec les autres ; or, la plupart des salles de sport sont conçues pour renforcer un muscle ou des groupes de muscles de façon isolée, le reste du corps ne travaillant pas durant le travail. On obtient donc un renforcement séquentiel. Lon[h]ea a choisi de se concentrer sur l’activation de la musculature dans son ensemble et non sur le renforcement, même si le travail d’activation a un impact positif sur la force. Nos préparateurs Santé se concentrent sur la coordination entre les muscles (travail intermusculaire) et sur la coordination à l’intérieur du muscle (travail intramusculaire). Pour personnaliser votre programme, ils procèdent à des évaluations de votre capacité à coordonner les mouvements et l’équilibre. Cela permet de déterminer quelle partie du corps stimuler en priorité pour procéder au développement musculaire. En effet, développer la force ne présente que peu d’intérêt si cette action n’est pas couplée avec une amélioration de la coordination d’activation des muscles. Les préparateurs Lon[h]ea proposent des exercices plus complexes afin d’activer un maximum de groupes musculaires simultanément, ceci en alliant puissance, déstabilisation et précision. En parallèle de ces exercices, Lon[h]ea travaille aussi sur la force maximale afin d’optimiser la coordination intramusculaire en stimulant aussi l’activation neuronale. Pour ce faire, le centre utilise des machines sans poids mais comportant avec un moteur qui permet de modéliser le niveau de résistance, ce qui facilite également un travail en toute sécurité et sans risque de blessure. De nombreux modes de contraction offrent ainsi des stimulations variées.

Lon[h]ea n’est pas un centre d’esthétique, mais de santé. Ceci étant, l’aspect esthétique est un critère de bien-être pour certaines personnes. De ce point de vue, le point important est de se sentir en accord avec soi-même et avec son corps. Steve Stievenart mange ainsi du poisson cinq fois par jour pour accumuler de « bonnes graisses » et tenir le froid : il a pris 45 kilos pour devenir le premier Français à traverser la Manche à la nage, aller-retour, pendant 35 heures environ. A chacun sa beauté selon ses besoins et ses objectifs ! Pour certains, il s’agira d’obtenir une allure plus svelte, pour d’autres un corps plus musclé ou plus fort. C’est dans cet état d’esprit que nos préparateurs et praticiens de santé vous aideront à atteindre votre bien-être.

COURS COLLECTIFS

Les séances collectives offrent de nombreux avantages, le premier d’entre eux étant d’apporter une motivation de groupe. Un autre de ces avantages est le fait que le coach apporte à la fois son attention à tous et à chacun individuellement. Enfin, les cours collectifs sont plus économiques que les séances de coaching privées.

A quel âge doit-on être considéré comme « Sénior » ? C’est surtout dans la tête que cela se passe, mais en pratique, les Séniors de Lon[h]ea sont des femmes et des hommes âgés de plus de soixante ans. Les plus anciens d’entre eux ont entamé leur huitième décennie et ils sont admirables ! Ces séniors regorgent d’énergie : ils s’entrainent en intérieur et extérieur pour profiter d’activités diverses telles que le ski, la nage, le vélo, et surtout le soin de leurs petits-enfants.

Nos cours Séniors incluent la course à pied et la marche en extérieur, ainsi que la gymnastique. Contactez le Centre Lon[h]ea pour plus d’information.

Courir est naturel, mais il existe différentes façons de pratiquer la course, et plus ou moins longtemps. Cette activité représente de 150 à 180 pas à la minute, soit 1800 impacts en dix minutes, 10 800 impacts en une heure : de sorte qu’une petite amélioration ou une petite détérioration aura de grandes répercussions positives ou négatives sur votre santé. Il est donc primordial que chacun optimise sa technique.

Contrairement aux idées reçues, la course à pied n’est pas réservée aux jeunes et aux personnes entraînées. Il est possible de commencer à n’importe quel âge, ce qui apporte de multiples bénéfices : regain d’énergie, tonification du corps, etc. Par exemple, le footing (course lente ou walking) permet d’améliorer la base cardio-respiratoire, très utile pour nombreux sports. Et il a aussi été démontré que la course à pied limitait la diminution du cartilage des articulations des genoux.

Le corps est une machine magnifique capable de s’adapter aux contraintes dès lors que l’on respecte la quantité de stress qu’il peut supporter. Ainsi, l’échauffement permettra d’activer votre système cardio-respiratoire et de le préparer à l’effort. Les gammes permettront d’améliorer votre technique de course et de renforcer les muscles spécifiques. Le renforcement musculaire – fentes, gainage, etc. – permettra quant à lui de prévenir les blessures tout en tonifiant votre corps et améliorera votre bien-être. Le stretching facilitera le retour au calme et le relâchement après l’effort.

Combinez les séances en intérieur et en extérieur, et les séances collectives ou privées selon les programmes définis pour vous, accessibles sur l’application MyLon[h]ea.

Kate découvre le yoga chaud – « warm yoga flow » – l ors de son rétablissement après la naissance de son enfant, en 2012. Ce fut pour elle une révélation et un changement de vie. Elle pratique depuis tous les jours pour elle-même et encadre les autres en tant que coach. En parallèle, elle travaille comme psychologue et conseillère en réadaptation, venant en soutien de personnes qui présentent des problèmes de santé ou qui rencontrent des difficultés à poursuivre leurs activités professionnelles.

MOMENTS DE VIE

Quel est le bon moment pour s’occuper de sa santé ? On y est pour ainsi dire obligé à l’occasion d’une blessure ou d’une maladie. Dans les autres cas, la réponse est « toujours », bien sûr. Un enfant qui reçoit une stimulation suffisante se développe mieux, et à la fleur de l’âge, il est possible de continuer à optimiser sa santé. Passé ce cap, l’énergie décroit et les capacités diminuent : il faut alors compenser l’avancée en âge. Ce ne sont donc pas les raisons qui manquent pour s’occuper de sa santé, notre bien le plus précieux.

Vous connaissez certainement les clichés de la « crise de la quarantaine ». Pour ceux de la génération des « babyboomers », née dans les années 1950-1960, il était en quelque sorte question de tout remettre en cause (travail, couple…) et de s’enfuir. Pour la génération X, née dans les années 1970-1980, il est sans doute moins question de courir pour s’enfuir que de courir des marathons. Beaucoup de quarantenaires se mettent au sport ou augmentent leur niveau sportif, par exemple à travers l’endurance extrême. Pourquoi ? Certains voudraient ainsi renverser le temps qui passe. D’autres investissent dans leur santé pour compenser le stress, la perte de capacités, pour renforcer leur système immunitaire et bien mûrir : dans tous les cas, contactez votre praticien de santé Lon[h]ea pour discuter des programmes de santé et de performance.

A quel âge doit-on être considéré comme « Sénior » ? C’est surtout dans la tête que cela se passe, mais en pratique les Séniors de Lon[h]ea sont des femmes et des hommes âgés de plus de soixante ans. Les plus anciens d’entre eux ont entamé leur huitième décennie et ils sont admirables ! Ces séniors regorgent d’énergie : ils s’entrainent en intérieur et extérieur pour profiter d’activités diverses telles que le ski, la nage, le vélo, et surtout le soin de leurs petits-enfants.

Nos cours Séniors incluent la course à pied et la marche en extérieur, ainsi que la gymnastique. Contactez le centre pour plus d’information.

Se rétablir après une blessure ou une maladie est un moment difficile qui présente des besoins multiples et qui suppose du courage. Ces moments nécessitent aussi le soutien de personnes spécialistes du soin et de professionnels compétents. Les personnes en voie de rétablissement doivent souvent affronter une période de douleur physique, mais souvent aussi psychique, alors que leurs capacités sont réduites. Contactez le centre Lon[h]ea qui saura vous orienter vers le thérapeute adéquat selon votre situation.

Au cours de notre vie, chacun d’entre nous a dû affronter un des problèmes tels que dépression, addiction, concentration, agressivité, instabilité, manque de confiance en soi. Ils peuvent causer beaucoup de dégâts et faire perdre bien du temps. Face à ces difficultés, la méthode Lon[h]ea est axée principalement sur l’activation du système nerveux par l’activité physique et sur la nutrition. La méthode Lon[h]ea ne vise pas à remplacer l’accompagnement par un psychologue : c’est une approche complémentaire.

PRÉPARER UN ÉVÉNEMENT SPORTIF

En tant qu’ancien footballeur professionnel et médecin du sport de l’équipe de tennis suisse de coupe Davis, les sports les plus connus par le Dr Michel Golay et son équipe sont le football et le tennis. Ceci étant, parmi les athlètes qui fréquentent le centre de Genève (Suisse) figurent des dizaines de disciplines sportives. Les plus représentées sont le tennis, le football, la course à pied, le ski, l’équitation, la natation, le vélo et les sports de combat, entre autres.

Chaque discipline sportive sollicite spécifiquement le corps. Le travail musculaire adapté peut ainsi être ciblé et groupé, inter et intra-musculaire. La méthode Lon[h]ea place le sportif au centre de son approche et analyse avec haute précision ses particularités métaboliques, de mouvements et de réactions, ainsi que sa condition, ceci pour réaliser des programmes très pointus et personnalisés.

Le cœur est un muscle, et pas n’importe lequel ! Afin d’optimiser l’efficacité de la préparation et de la performance, et pour minimiser les risques de blessures, Lon[h]ea réalise des tests d’effort qui permettent de déterminer les paliers et seuils de travail des sportifs.

Bien que prenant en compte les particularités de chaque discipline, la méthode Lon[h]ea est avant tout centrée sur le sportif : son métabolisme, son mouvement, sa réaction, sa résistance, sa condition sont mesurés avec une grande précision. Le diagnostic réalisé permet de réaliser des programmes très personnalisés pour optimiser la préparation et la récupération.

Les Centre Lon[h]ea se situe dans une des plus belles régions naturelles du monde, avec ses montagnes, ses lacs, ses forêts, ses bords de mer. Même le sport urbain est un plaisir en raison de la beauté des nombreux parcs. Pour profiter de notre superbe région, les sports en extérieur sont nombreux. Certains ne requièrent qu’une paire de baskets, d’autres une équipe et un navire. Le point en commun de toutes ces activités, c’est la préparation physique. Meilleure elle sera et plus le plaisir et la performance accompagneront votre activité.

Athletica vous accompagne avec des programmes ciblés sur la préparation, la performance et la récupération, sachant que la variété des activités physiques est très salutaire pour la santé et la performance.